Quand nous étions enfants, nous avons trouvé un chevalier dans le jardin; juste au-delà d'un patch de gommage herbe, et caché par les feuilles de laurier vert. La première chose qui nous a frappés était de savoir comment il était petit, comme un jockey ou un autre enfant, et je me rends compte maintenant que son corps délicat ne pouvait avoir été nourri par des aliments médiévaux; navets, boudin, peut-être des oiseaux chanteurs torréfiées dans une mince sauce toxique du mercure. Il avait l'air peiné, pincé-in, fanatique. Il attendit immobile sur son cheval, semblant absorber la lumière à partir autour de lui; blanchies comme une photographie sous-exposée, avec les bleus et violets des illustrations édouardienne, fané au fil des ans dans une palette surnaturelle du soleil infusé du passé lointain. Il était séparé de la lumière et l'ombre du jardin, et il était assis dans une posture évidente d'hésitation et -il léger dédain seemed-, sans voir ou de réagir pour nous. Nous avons été choqués, et broyé autour de lui par rapport feutré. D'autres jours, nous l'avons trouvé trempé, avec de la pluie de percer les feuilles de laurier, strie long, des lignes sombres sur les côtés de son visage, avant de notre mère nous appelait depuis le mouillé, et nous lui avons laissé à sa méditation.
< br /> cousu dans le pommeau de sa selle était son nom, Roland. Il ne bougeait pas du fond du jardin, et nous avons visité le moins en moins. La dernière fois que je l'ai vu, je l'âge de 8 ans et un jour d'été brûlant avait blanchi les herbes et séché la mousse sur la pelouse. Il était là, mais pas là, comme d'habitude, la mauvaise couleur et la forme de la lumière oppressive, la chaleur qui a fait la nouvelle tente moi avions dressé un four inhabitables. Je pensais que son visage avait changé un peu, comme s'il était épuisé par le long voyage à travers les ans, de la pose du Roi Arthur au repos par la mer sur une nouvelle, soirée fraîche, de voir les préraphaélites peindre la même scène à tort neuf des siècles plus tard. Mais peut-être moi qui devenait fatigué. En Septembre, je suis malade; quand je suis rentré, il avait disparu.
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