Haut de pagea

Traduction La Ultima Curda (Astor Piazzola) Paroles en Français

Le dernier kurde

1956 Tango Musique: Aníbal Troilo
Lettre: Castle Cátulo
Dommage, bandonéon,

mon cœur maleva ta malédiction enrouée ...
Vos larmes de rhum

me conduit au banc
profonde où la boue est révoltante.
Je sais, ne me dites pas! Vous avez raison!
La vie est une plaie absurde, et il est tout

si fugace qui est un Kurde, rien de plus Ma confession.

Dites-moi votre conviction, votre échec décime


ne vois pas la honte qui a fait du mal de moi?

Et juste me parler de cet amour absent
après un morceau de l'oubli.
Je sais que je te fais mal!
Je sais que je me suis blessé
pleurer mon vin sermon!

Mais le
vieux tremblement d'amour, bandonéon,
et rechercher la liqueur étourdit kurde la fonction

fin
coeur. < br /> un souvenir peu
ruisselant sinsabor votre grognement terne.
Marea votre liqueur et le nandou tropilla

le pied gauche pour sauvegarder le dernier curda.
Cerrame la fenêtre en faisant glisser

soleil son lent escargot sommeil,
vous ne voyez pas
venir d'un pays qui est l'oubli, toujours gris, après
alcool? ...

La Ultima Curda (Astor Piazzola) Paroles effectuées par Roberto Goyeneche sont la propriété et le copyright des auteurs, artistes et labels. Vous devriez noter que les paroles de La Ultima Curda (Astor Piazzola) effectuées par Roberto Goyeneche ne sont fournies qu'à des fins éducatives et si vous aimez la chanson, vous devriez acheter le CD sur le site officiel de l'auteur


Quelle est la signification de La Ultima Curda (Astor Piazzola) paroles?