Mon père tout jeune m'a engagé,
A la Meta comme ouvrier.
Je n'avais pas vingt ans,
Je n'avais pas quinze ans,
Déjà l'amour me donnait du bon temps.
A peiner pour les usiniers,
Les grandes dames des beaux quartiers.
Je n'avais pas vingt ans,
Je n'avais pas quinze ans,
Déjà l'amour me donnait du bon temps.
Hier en ville,j'ai rencontré
Marie-Camille Lehuédé.
Je n'avais pas vingt ans,
Je n'avais pas quinze ans,
Déjà l'amour me donnait du bon temps.
Elle est la fille d'un ferblantier,
D'une ramendeuse de Ploaré.
Je n'avais pas vingt ans,
Je n'avais pas quinze ans,
Déjà l'amour me donnait du bon temps.
Elle est friteuse chez Béziers,
C'est la plus belle du comité.
Je n'avais pas vingt ans,
Je n'avais pas quinze ans,
Déjà l'amour me donnait du bon temps.
C'est dans trois mois l'épouserai,
Filles et garçons je lui ferai.
Je n'avais pas vingt ans,
Je n'avais pas quinze ans,
Déjà l'amour me donnait du bon temps.
Jamais ne seront ouvriers,
Dans les usines de Douarnenez.
Je n'avais pas vingt ans,
Je n'avais pas quinze ans,
Déjà l'amour me donnait du bon temps.
Marie-Camille Lehuédé Paroles effectuées par Tri Yann sont la propriété et le copyright des auteurs, artistes et labels. Vous devriez noter que les paroles de Marie-Camille Lehuédé effectuées par Tri Yann ne sont fournies qu'à des fins éducatives et si vous aimez la chanson, vous devriez acheter le CD sur le site officiel de l'auteur