Comme c'est beau la jeunesse
qui fuit tout le chemin,
de demain il n’ya aucune certitude,
qui veut être, content que ça soit!
En dehors du ciel plus loin de la maison
la fenêtre sans rideaux et juste quelques nuages
dans la couche crépusculaire de la pièce envahie
les yeux à l'intérieur des yeux et sous les pubes contre pubes.
Je n'ai même pas vingt ans et tu as un peu plus de dix-huit ans
des demi-phrases et autant de signes amusants pour se comprendre
le matin ta pensée est mal traduite
et tous les soirs des bisous et des câlins et nous à épuiser.
Ah
combien de vie il y a devant
brûler avec énergie
tous nos moments
et jamais aucune nostalgie.
Ah
l’existence qui nous rend malade
et qui ne nous guérit plus,
je suis comme un coup d’aile
les années de la jeunesse.
"Je ne salope pas" dans ce premier ton billet
quand on a choisi parmi les autres du dîner
le chanteur et le mannequin se sont retrouvés en duo
ta berceuse c'est le mon vieux chanteur
Et qui avait déjà vu des cheveux couleur glace
de longues stalactites sur un look cobalt
comme quand tu apprends à patiner avec un embarras
je t'ai tenu en silence et vous rougissez dans votre émail
Ah
ce coeur comme du sang
s'il ne rompt pas avec l'euphorie
s'il ne coule pas pour donner du sang
à tous les amoureux agonie
Ah
cette fois nous confond
et nous claque de haut en bas
ils sont forts comme des vagues
les années de jeunesse.
< br /> Ah
que c'est beau cette nuit
celui qui ne dort jamais
que tout ça dégage
du futur que tu ne connais pas
Ah
combien de monde y a-t-il dans la rue
combien d’étoiles il faut mettre
sur les épées
les années de jeunesse.
Je reviens bientôt et je t'emmène
et avec un geste j'ai fait un peu de bonheur
bonjour du hublot et je t'ai laissé là
et toi la dernière lettre
où tu t'attendais à un fils et bien après un
on disait que tout était là ton but
Je ne sais pas puto faire n'importe quoi et jamais
jamais plus que toi
ah
combien d'histoires sans fin
cette fiatano fiatano la piste
et nous restons proches
en prétendant amnésie
Ah
ce vent nous traîne
et nous jette à l’envers
Je suis comme une neige
les années de la jeunesse. < br />
Ah
Je sens toujours sur ma bouche
ma stupide poésie
et ta berceuse rime
quand je m'enfuis je pars
sur mes souvenirs tu bois
que tu ne penses plus
Je suis resté dans la neige
les années de jeunesse
Gli Anni Della Gioventù Paroles effectuées par Claudio Baglioni sont la propriété et le copyright des auteurs, artistes et labels. Vous devriez noter que les paroles de Gli Anni Della Gioventù effectuées par Claudio Baglioni ne sont fournies qu'à des fins éducatives et si vous aimez la chanson, vous devriez acheter le CD sur le site officiel de l'auteur